les rues de La Paz (3658 – 4018 m) montent et descendent
Sur les hauteurs de la ville : le marché des artisans et surprise ! Un magasin indien dénommé NIM !
Marie peut enfin, 37 ans après, se régaler de portraits en numérique (l’argentique de l’époque ne permettait pas, bien sûr, ces délires photographiques). Contrairement à certains pays d’Asie, il est extrêmemnt difficile, ici, de photographier hommes et femmes,toujours rétifs à la sortie de l’objectif. Même l’interactivité propre au numérique : montrer le résultat immédiatement aux enfants ou familles ne réalise pas l’echange souhaité. Il me faut déployer des trésors de ruse pour arriver à mes fins ! Vous avez dit voyeurisme ?
Francis a enfin trouvé son chapeau de baroudeur, un Borlino traditionnel bolivien