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Le petit déjeuner (délicieux simili pancakes !) nous offre l’occasion de prolonger la conversation de la veille

Le lendemain, Elena complète le traitement de Marie avec des infusions de mounia et d’ l’eucalyptus



Sur le bateau, en présence de Richar, notre guide, c’est à voix haute que certains d’entre nous (familles de franco-belges, de chinois, de suisses allemands ou d’israéliens) parmi les plus âgés d’ailleurs, s’interrogent sur l’ambiguité d’un tel dispositif touristique et demandent au guide quel est le pourcentage financier réellement reversé aux familles. La réponse est que : sur 25 € (environ 90 soles peruanos), les familles touchent en moyenne et toujours, rappelons_le, sur le principe de la rotation, 5 €. Le reste est partagé entre le bateau, son capitaine, le guide, l’agence et autres intermédiaires. Richar souligne à nouveau l’absence totale d’aide apportée aux îliens qui du gouvernement local, départemental et national. A terme, et le terme est probablement proche, les îles seront désertées par les paysans et le risque d’y voir se développer des complexes touristico-hôteliers est très grand

Francis fera la traversée de l’île (3 h) au milieu des pins maritimes et des eucalyptus (magnifiques paysages qui ont des airs grecs ou crétois prononcés) tandis que Marie restera se soigner dans la cale du bateau
